samedi 28 juin 2008

ah quand même...


je lis dans "Les espagnols " d'Alexandre Fernandez :

en 1974, 1% de la population (espagnole) possédait 22 % de la richesse (nationale)".


c'est une des composantes du franquisme sociologique qu'Alexandre explique et détaille fort bien. une aspiration à davantage de démocratie mais sans que le désordre en fût le prix à payer.


bien.


je lis dans un rapport de l'institut mondial de recherche sur l'économie du développement de l'université de l'ONU :


2 % d'adultes les plus riches du monde détiennent plus de la moitié de la richesse globale des ménages.


je sais.


comparaison n'est pas raison.


mais quand même.


ou ça n'a pas beaucoup bougé sauf que ça s'est agrandi ( l'espace du contentieux et la fracture elle-même)


ou Franco n'est pas mort en fait.



nb : "Les espagnols / De la guerre civile à l'Europe" d' Alexandre Fernandez chez Armand Colin.
passionnant.

vendredi 27 juin 2008

à tue-tête





à l'heure où carlalilalère chante à tue-tête dans "libé" que quelqu'un lui a dit qu'internet et les médias fallait pas pousser bébé dans les orties mais pas non plus jeter l'eau du bain de mémé quand même,
un manifestation salutaire ?

wiki médias libres...


faut voir.


comme faut voir, mais là absolument les films de Pierre Etaix.
enfin, on aimerait.
parce qu'on est un peu dans la mouise si c'est le cas.


bigard c'est mieux c'est vrai.

jeudi 26 juin 2008

calculer la liquidation ou souffler l'incalculable

"de tertulia" me permet de donner l'occasion aux visiteurs de los pinchos del ciego de réagir aux articles que je sélectionnerai dans des liens qui reflètent une pensée politique, un esprit, vous savez celui qu'il faudrait liquider. Pourtant , comme jean-luc Nancy , je pense que "L’esprit n’a pas cessé de souffler, puisqu'il n'y a pas eu de décés" .

Donc, on le voit, sans faire des lendemains un cante por buleria , ça commence par une bonne nouvelle. Il vaut mieux, car la suite risque d'être parfois toxique.

Mais comme l'écrivent aussi le même philosophe et le journaliste littéraire :

D’un côté, «l’incalculable», de l’autre, la république des petits calculs.

donc c'est parti pour.


ludo